Ils sont des manchots, des sourds-muets, des unijambistes, des non-voyants, des tétraplégiques à cohabiter à l’école communale de Pétion-Ville, dans deux anciennes salles de classe reconverties en abris de fortune dans des conditions infrahumaines.
Suite à l’incendie du camp « La piste », le périple de ces personnes handicapées et des membres de leur famille les a conduit dans les locaux de cette institution qui visiblement n’est pas aménagée à cette fin. L’espace prend la forme d’un camp qui abrite des réfugiés de guerre, les bancs sont enlevés pour laisser la place à des linges sales qui sont posés à même le sol où s’installent adultes…

Jesús
Anfin sanble problèm peyi a pap rezoud
Haïti, un pays très maltraité
Tet chaje
Good information
Good good job